Jeanne Neis Nabert[Jeanne_Neis_Nabert]

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Önéletraj Jeanne Neis Nabert

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Olda: 3 : 2 : 1

Les Bigoudènes :
Vers 2015-04-18 (2878 megjelenítések)

Les épaves :
Vers 2015-01-28 (3155 megjelenítések)

Les fenêtres :
Vers 2015-04-21 (2946 megjelenítések)

Les glaneurs :
Vers 2015-01-27 (2730 megjelenítések)

Les moussaillons :
Vers 2014-12-29 (3023 megjelenítések)

Les sardinières :
Vers 2015-01-07 (3183 megjelenítések)

Les trois compagnons d’armes :
Vers 2015-04-21 (2788 megjelenítések)

Les yeux :
Vers 2015-01-13 (2843 megjelenítések)

L’air est si lourd, la ville est vide… :
Vers 2015-05-28 (2763 megjelenítések)

L’amour est fou, l’amour triste… :
Vers 2015-05-24 (2903 megjelenítések)

L’enfant du bûcheron :
Vers 2015-01-14 (3194 megjelenítések)

L’heure est venue :
Vers 2014-12-28 (3105 megjelenítések)

L’île de Sein :
Vers 2015-04-07 (3363 megjelenítések)

L’orage :
Vers 2014-12-19 (2976 megjelenítések)

Mon doux amour dans la nuit sombre… :
Vers 2015-05-27 (2699 megjelenítések)

Mysticité :
Vers 2015-01-29 (2836 megjelenítések)

Ne détournez pas de moi… :
Vers 2015-03-31 (3066 megjelenítések)

Non tu ne connais pas mon triste et doux pays… :
Vers 2015-05-14 (2674 megjelenítések)

Nostalgie :
Vers 2015-04-23 (2695 megjelenítések)

Nous lisions :
Vers 2015-01-28 (2853 megjelenítések)

Nuages gris :
Vers 2015-04-21 (2606 megjelenítések)

Ô printemps :
Vers 2015-01-25 (2921 megjelenítések)

Orange :
Vers 2015-04-05 (2896 megjelenítések)

Où s’en vont-elles ? :
Vers 2015-04-16 (3243 megjelenítések)

Par le trou clair de la serrure… :
Vers 2015-05-28 (2907 megjelenítések)

Parce qu’en souriant j’ai dénoué mon voile… :
Vers 2015-05-29 (2894 megjelenítések)

Plus tard :
Vers 2014-12-19 (3397 megjelenítések)

Quand je vous rencontre en chemin… :
Vers 2015-05-29 (2909 megjelenítések)

Quand même :
Vers 2015-01-09 (3255 megjelenítések)

Quand tu m’as prise dans tes bras… :
Vers 2015-05-29 (2939 megjelenítések)

Qu’avais-tu donc en tes baisers… :
Vers 2015-05-29 (2782 megjelenítések)

Regardez-moi Seigneur... :
Vers 2015-03-31 (2284 megjelenítések)

Rêverie :
Vers 2014-12-28 (3089 megjelenítések)

Rouge :
Vers 2015-04-02 (2736 megjelenítések)

Si je savais où tu demeures…. :
Vers 2015-05-29 (2707 megjelenítések)

Si tu fuis mon ombre assise à ton seuil… :
Vers 2015-05-28 (2636 megjelenítések)

Si tu peux :
Vers 2014-12-22 (3051 megjelenítések)

Si vous avez le soir pleuré de nostalgie… :
Vers 2015-05-28 (2782 megjelenítések)

Soir de juin :
Vers 2014-12-21 (2900 megjelenítések)

Soir de mai :
Vers 2014-12-29 (2856 megjelenítések)

Soleil couchant :
Vers 2015-04-16 (2657 megjelenítések)

Sonnet :
Vers 2015-01-13 (2752 megjelenítések)

Souvenir :
Vers 2015-01-14 (3208 megjelenítések)

Soyez mon refuge... :
Vers 2014-12-19 (2755 megjelenítések)

To die… to sleep :
Vers 2015-01-30 (2690 megjelenítések)

Tous deux s’aimaient sans se le dire… :
Vers 2015-05-28 (2851 megjelenítések)

Tu ne sais pas combien je t’aime… :
Vers 2015-05-14 (3105 megjelenítések)

Vert :
Vers 2015-04-06 (2617 megjelenítések)

Violet :
Vers 2015-04-06 (3357 megjelenítések)

Voici le soir… :
Vers 2015-05-24 (2730 megjelenítések)

Önéletraj Jeanne Neis Nabert


Jeanne Neis Nabert, (1883-1969) est un écrivain français du début du XXe siècle.
Elle est la fille du Dr. Pierre Nicolas Christian Néis, médecin à Pont-Croix (Finistère) et de Laure VEILHEIN. Elle est née le 5 mars 1883 à Pont-Croix.
Ses premières œuvres sont des poèmes : "Humble Moisson" (recueil préfacé par Anatole Le Braz) et "Silences Brisés" qu'elle signe Sijenna. (anagramme approché de son nom). En 1908, son second recueil reçoit le prix Archon Despérouzes de l'Académie française. La même année, elle épouse le philosophe Jean Nabert, 1881-1960 ; ils auront deux enfants (Madeleine et Claude). En 1925, Charles Dullin monte une pièce en trois actes dont l'action se situe à l'Ile de Sein : "La Lame sourde". Jeanne Nabert publie ses écrits de janvier à mars 1926 dans la Grande Revue sous la signature de Jeanne Neis.
Elle fait scandale dans les années 1930 avec son livre "Le Cavalier de la mer", prix du premier roman en 19313. En effet, son roman dont l'action se situe à Pont-Croix à la fin du XIXe siècle met en scène des personnages (dont son père) qui ont pu être reconnus par leurs descendants, et il a été mal accueilli dans certaines familles. Le style est alerte, le langage fleuri, l'intrigue bien menée, et les personnages souvent attachants.
À 48 ans, elle entreprend sous son nom d'épouse une carrière de romancière. Elle meurt le 10 avril 1969 et repose au cimetière de Pont-Croix en compagnie de son mari le philosophe français Jean Nabert, 1881-1960.

Œuvres

•Humble Moisson, Le Dault, Paris, 1903
•Silences brisés, E. Sansot, 1908
•La Lame sourde, pièce en 3 actes, 1926 Lire en ligne
•Le Cavalier de la mer, Paris, Plon, 1932 ; Rennes, La Découvrance Éditions, 1995
•Les Termagies, Paris, Plon, 1936
•L'Îlienne, Paris, Librairie celtique, 1946
•Contes du bout du monde; Sarcenas, Calligrammes, 1988
•Nouveaux Contes du bout du monde; Sarcenas, Calligrammes, 1988
•Judith en Bretagne, Sarcenas, Calligrammes, 1992
•Œuvres de jeunesse : Pauvre vieux ; Le mur mitoyen, Plouhinec, Société littéraire et artistique du Cap Sizun, 1997