Jeanne Neis Nabert[Jeanne_Neis_Nabert]

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Önéletraj Jeanne Neis Nabert

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Olda: 3 : 2 : 1

Les Bigoudènes :
Vers 2015-04-18 (2908 megjelenítések)

Les épaves :
Vers 2015-01-28 (3188 megjelenítések)

Les fenêtres :
Vers 2015-04-21 (2976 megjelenítések)

Les glaneurs :
Vers 2015-01-27 (2763 megjelenítések)

Les moussaillons :
Vers 2014-12-29 (3051 megjelenítések)

Les sardinières :
Vers 2015-01-07 (3208 megjelenítések)

Les trois compagnons d’armes :
Vers 2015-04-21 (2810 megjelenítések)

Les yeux :
Vers 2015-01-13 (2892 megjelenítések)

L’air est si lourd, la ville est vide… :
Vers 2015-05-28 (2792 megjelenítések)

L’amour est fou, l’amour triste… :
Vers 2015-05-24 (2929 megjelenítések)

L’enfant du bûcheron :
Vers 2015-01-14 (3218 megjelenítések)

L’heure est venue :
Vers 2014-12-28 (3127 megjelenítések)

L’île de Sein :
Vers 2015-04-07 (3405 megjelenítések)

L’orage :
Vers 2014-12-19 (3017 megjelenítések)

Mon doux amour dans la nuit sombre… :
Vers 2015-05-27 (2735 megjelenítések)

Mysticité :
Vers 2015-01-29 (2868 megjelenítések)

Ne détournez pas de moi… :
Vers 2015-03-31 (3094 megjelenítések)

Non tu ne connais pas mon triste et doux pays… :
Vers 2015-05-14 (2712 megjelenítések)

Nostalgie :
Vers 2015-04-23 (2754 megjelenítések)

Nous lisions :
Vers 2015-01-28 (2884 megjelenítések)

Nuages gris :
Vers 2015-04-21 (2631 megjelenítések)

Ô printemps :
Vers 2015-01-25 (2954 megjelenítések)

Orange :
Vers 2015-04-05 (2932 megjelenítések)

Où s’en vont-elles ? :
Vers 2015-04-16 (3285 megjelenítések)

Par le trou clair de la serrure… :
Vers 2015-05-28 (2947 megjelenítések)

Parce qu’en souriant j’ai dénoué mon voile… :
Vers 2015-05-29 (2930 megjelenítések)

Plus tard :
Vers 2014-12-19 (3451 megjelenítések)

Quand je vous rencontre en chemin… :
Vers 2015-05-29 (2942 megjelenítések)

Quand même :
Vers 2015-01-09 (3287 megjelenítések)

Quand tu m’as prise dans tes bras… :
Vers 2015-05-29 (2958 megjelenítések)

Qu’avais-tu donc en tes baisers… :
Vers 2015-05-29 (2821 megjelenítések)

Regardez-moi Seigneur... :
Vers 2015-03-31 (2312 megjelenítések)

Rêverie :
Vers 2014-12-28 (3133 megjelenítések)

Rouge :
Vers 2015-04-02 (2784 megjelenítések)

Si je savais où tu demeures…. :
Vers 2015-05-29 (2741 megjelenítések)

Si tu fuis mon ombre assise à ton seuil… :
Vers 2015-05-28 (2660 megjelenítések)

Si tu peux :
Vers 2014-12-22 (3077 megjelenítések)

Si vous avez le soir pleuré de nostalgie… :
Vers 2015-05-28 (2822 megjelenítések)

Soir de juin :
Vers 2014-12-21 (2933 megjelenítések)

Soir de mai :
Vers 2014-12-29 (2882 megjelenítések)

Soleil couchant :
Vers 2015-04-16 (2691 megjelenítések)

Sonnet :
Vers 2015-01-13 (2806 megjelenítések)

Souvenir :
Vers 2015-01-14 (3267 megjelenítések)

Soyez mon refuge... :
Vers 2014-12-19 (2778 megjelenítések)

To die… to sleep :
Vers 2015-01-30 (2736 megjelenítések)

Tous deux s’aimaient sans se le dire… :
Vers 2015-05-28 (2896 megjelenítések)

Tu ne sais pas combien je t’aime… :
Vers 2015-05-14 (3137 megjelenítések)

Vert :
Vers 2015-04-06 (2648 megjelenítések)

Violet :
Vers 2015-04-06 (3405 megjelenítések)

Voici le soir… :
Vers 2015-05-24 (2759 megjelenítések)

Önéletraj Jeanne Neis Nabert


Jeanne Neis Nabert, (1883-1969) est un écrivain français du début du XXe siècle.
Elle est la fille du Dr. Pierre Nicolas Christian Néis, médecin à Pont-Croix (Finistère) et de Laure VEILHEIN. Elle est née le 5 mars 1883 à Pont-Croix.
Ses premières œuvres sont des poèmes : "Humble Moisson" (recueil préfacé par Anatole Le Braz) et "Silences Brisés" qu'elle signe Sijenna. (anagramme approché de son nom). En 1908, son second recueil reçoit le prix Archon Despérouzes de l'Académie française. La même année, elle épouse le philosophe Jean Nabert, 1881-1960 ; ils auront deux enfants (Madeleine et Claude). En 1925, Charles Dullin monte une pièce en trois actes dont l'action se situe à l'Ile de Sein : "La Lame sourde". Jeanne Nabert publie ses écrits de janvier à mars 1926 dans la Grande Revue sous la signature de Jeanne Neis.
Elle fait scandale dans les années 1930 avec son livre "Le Cavalier de la mer", prix du premier roman en 19313. En effet, son roman dont l'action se situe à Pont-Croix à la fin du XIXe siècle met en scène des personnages (dont son père) qui ont pu être reconnus par leurs descendants, et il a été mal accueilli dans certaines familles. Le style est alerte, le langage fleuri, l'intrigue bien menée, et les personnages souvent attachants.
À 48 ans, elle entreprend sous son nom d'épouse une carrière de romancière. Elle meurt le 10 avril 1969 et repose au cimetière de Pont-Croix en compagnie de son mari le philosophe français Jean Nabert, 1881-1960.

Œuvres

•Humble Moisson, Le Dault, Paris, 1903
•Silences brisés, E. Sansot, 1908
•La Lame sourde, pièce en 3 actes, 1926 Lire en ligne
•Le Cavalier de la mer, Paris, Plon, 1932 ; Rennes, La Découvrance Éditions, 1995
•Les Termagies, Paris, Plon, 1936
•L'Îlienne, Paris, Librairie celtique, 1946
•Contes du bout du monde; Sarcenas, Calligrammes, 1988
•Nouveaux Contes du bout du monde; Sarcenas, Calligrammes, 1988
•Judith en Bretagne, Sarcenas, Calligrammes, 1992
•Œuvres de jeunesse : Pauvre vieux ; Le mur mitoyen, Plouhinec, Société littéraire et artistique du Cap Sizun, 1997