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À l’envers de ma porte
: Vers 2010-05-09 (7810 megjelenítések)
À Roger Nimier
: Vers 2010-01-07 (7758 megjelenítések)
À Sienne
: Vers 2009-11-21 (6720 megjelenítések)
Accords doux à Cordoue
: Vers 2009-11-21 (7824 megjelenítések)
Adieux
: Vers 2010-05-09 (7551 megjelenítések)
Amour
: Vers 2009-11-21 (7590 megjelenítések)
Amours secrètes
: Vers 2010-05-09 (7052 megjelenítések)
Attendez le prochain bateau
: Vers 2009-11-27 (9139 megjelenítések)
Au jardin
: Vers 2010-02-10 (6491 megjelenítések)
Bouche de Reine
: Vers 2009-11-26 (6255 megjelenítések)
Cailloux des souvenirs
: Vers 2009-12-05 (7272 megjelenítések)
Chanson
: Vers 2010-05-11 (5782 megjelenítések)
Château de ma présence
: Vers 2010-01-15 (6616 megjelenítések)
Dame des courants
: Vers 2009-11-21 (5932 megjelenítések)
Dans le ciel mauve...
: Vers 2010-01-07 (5717 megjelenítések)
Dans l’herbe
: Vers 2009-11-26 (9895 megjelenítések)
Eau de vie, Au-delà
: Vers 2009-11-24 (9893 megjelenítések)
Fado Fa do
: Vers 2009-12-02 (10851 megjelenítések)
Fiançailles pour rire
: Vers 2009-11-30 (9337 megjelenítések)
Fiancée
: Vers 2010-01-29 (6515 megjelenítések)
Fleurs
: Vers 2009-11-26 (11120 megjelenítések)
Habillée au goût du bonheur
: Vers 2010-05-09 (6355 megjelenítések)
Il était rue…, chanson
: Vers 2010-01-08 (6945 megjelenítések)
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Önéletraj Louise de Vilmorin
Louise de Vilmorin est née le 4 avril 1902 ŕ Verričres-le-Buisson (Essonne) dans une célčbre famille de grainetiers. Elle a été fiancée ŕ Saint-Exupéry, puis devint la grande amie d’André Malraux, qui l’encourage ŕ publier son premier roman au style délicat « Sainte-Unefois » en 1934.
Le succčs est immédiat et la fait reconnaître du Tout-Paris, et elle enchaîne tour ŕ tour avec des succčs littéraires. Citons :
Le Lit ŕ colonnes (1941),
Julietta (1951),
Madame de... (1951),
La Lettre dans un taxi (1958).
Louise de Vilmorin publie aussi plusieurs recueils de počmes, imprégnés de fantaisie et de féerie, dont :
Fiançailles pour rire (1939),
Le Sable du sablier (1945),
l’Alphabet des aveux (1954) et
Solitude, ô mon éléphant, počmes.
Sa fantaisie se manifeste dans les figures de style dont elle est friande, holorimes (mot qu'elle orthographie « olorime »), palindromes dont elle a écrit un grand nombre et de grande taille.
Elle est aussi l'instigatrice du célčbre « Pot au feu » cher au Paris mondain, soirées dominicales au cours desquelles elle réunissait ses amis au « Salon bleu » de son château de Verričres-le-Buisson. S'y retrouvaient réguličrement Alain Cuny, Pierre Bergé, René Clair, Max Ophuls, Anaďs Nin, Paul Meurisse, les peintres Jean Hugo et Bernard Buffet, les danseurs Roland Petit et Zizi Jeanmaire, Léo Ferré, sa femme Madeleine et son saint-bernard.
Plusieurs de ses śuvres furent adaptées au cinéma, comme "Le Lit ŕ colonnes", "Amélie ou le temps d'aimer" (1961) de Michel Drach avec Marie-José Nat et Jean Sorel, ou "La Française et l'Amour" (1960) avec Darry Cowl et Micheline Dax, et, enfin, le chef-d'oeuvre de Max Ophuls, "Madame de..." (1953) avec Danielle Darrieux, Charles Boyer et Vittorio de Sica. Elle écrivit le scénario des "Amants" de Louis Malle en 1958.
Elle se maria une premičre fois en 1929 avec Henry Leigh-Hunt qu'elle suivra aux États-Unis (Las Vegas) et avec qui elle aura trois filles, ensuite elle devint en 1937 la femme du comte Paul Palffy d'Erdöd. Elle le suivra dans son château de Pudmerice en Slovaquie.
Elle gagne le Grand prix littéraire de Monaco en 1955. Louise de Vilmorin, pour plusieurs, trônait en reine du Paris littéraire mondain, incarnation męme de la frivolité hissée au rang de l'art de vivre. Grande voyageuse, Louise de Vilmorin vécut sept ans en Hongrie et en Slovaquie.
De 1960 ŕ 1964, Louise de Vilmorin compose de nombreux počmes; elle travaille des chansons avec des musiciens, tel que Guy Béart. Elle peint aussi.
Louise de Vilmorin décčde le 26 décembre 1969 ŕ Verričres-le-Buisson.
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