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Calligraphie dominicale
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Et un jour le choix est venu
: Vers 2015-05-12 (4156 megjelenítések)
Fille naïve
: Vers 2015-05-07 (4518 megjelenítések)
Frasils et trous chauds
: Vers 2015-05-08 (4283 megjelenítések)
La fille unique
: Vers 2015-05-08 (4169 megjelenítések)
La Piouke
: Vers 2015-05-07 (4805 megjelenítések)
Le soleil éclaire une feuille
: Vers 2015-05-29 (4601 megjelenítések)
Le temps d’une oasis
: Vers 2015-05-09 (4498 megjelenítések)
Le tourment du goéland
: Vers 2015-05-29 (4310 megjelenítések)
Les Bohémiens…
: Vers 2015-05-08 (4669 megjelenítések)
Les heures servantes
: Vers 2015-05-12 (3876 megjelenítések)
Les nuits hymen
: Vers 2015-05-11 (3986 megjelenítések)
Les santés se suicident
: Vers 2015-05-08 (4559 megjelenítések)
L’amour de l’eau
: Vers 2015-05-12 (4492 megjelenítések)
Marche sur le fleuve
: Vers 2015-05-11 (4230 megjelenítések)
Mission tangage
: Vers 2015-05-30 (4122 megjelenítések)
Mon cœur avant ta venue
: Vers 2015-05-11 (4465 megjelenítések)
Pour le courrier du roi
: Vers 2015-05-11 (3906 megjelenítések)
Pour les fiancés ultra-rapides qui ne portent pas leur bague
: Vers 2015-05-11 (4454 megjelenítések)
Pourquoi nous avoir profanés
: Vers 2015-05-30 (4321 megjelenítések)
Rêve
: Vers 2015-05-30 (4504 megjelenítések)
Ton Africaine blanche
: Vers 2015-05-07 (4100 megjelenítések)
Une fleur debout dans un canot
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Önéletraj Françoise Bujold
Françoise Bujold naît le 6 mars 1933 à Bonaventure. Après ses études primaires, elle quitte sa Gaspésie natale pour Montréal où elle étudie les lettres et sciences. Elle apprendra les arts graphiques avec Albert Dumouchel, le graphisme et la mise en page avec Gilles Robert et la séparation des couleurs avec Arthur Gladu.
Elle commence à écrire à seize ans et publie ses premiers poèmes à l'âge de vingt-deux ans (« Au catalogue de solitudes », 1955. Trois années plus tard, elle fera paraître un second recueil de poèmes « La fille unique ». En 1959, Françoise Bujold, déjà liée d'amitié à la famille Guité-Tommi, enseigne les arts plastiques au Centre d'art de Percé. Avec la collaboration des enfants, elle illustrera son conte "L'île endormie" et par la suite elle ira enseigner aux jeunes amérindiens de Maria. Atelier de gravure sur la réserve de Maria, elle crée des livres d'artistes avec les enfants Micmacs. Deux livres notoires : Une fleur debout dans un canot, 1962, et La naissance du soleil, 1966. Ce dernier livre contient des fragments de la mythologie des anciens Micmacs, présentés par le botaniste Jacques Rousseau.
Au cours des années 60, elle continue à écrire et réalise des gravures qui seront exposées dans divers musées. En 1964, elle réalise le film "Le monde va nous prendre pour des sauvages" avec Jacques Godbout et dix ans plus tard la Guilde Graphique publie son grand poème "Ah ouiche t'en plain". Dernières années : séjour à Miguasha en 1979 pour dessiner des fossiles.
Françoise Bujold est décédée des suites d’un cancer à l’âge de quarante-sept ans le 18 janvier 1981 et ses cendres reposent au cimetière de Bonaventure.
La bibliothèque municipale de Bonaventure porte aujourd'hui le nom de Bibliothèque Françoise-Bujold afin de souligner l'oeuvre de cette artiste pluridisciplinaire.
On retrouve ses toiles dans plusieurs musées du Québec et trois livres regroupent l’essentiel de ses textes :
-1982 - Piouke fille unique. Poèmes, textes radiophoniques, gravures, dessins, écrits sur l'art, éditions Parti Pris, 224 p.
-1987 - La Marmarelle, éditions d'Orphée, 116 p. [textes radiophoniques 1955-1965]
-2010 - Françoise Bujold [texte établi par David Lonergan], À toi qui n'es pas né au bord de l'eau, Editions Trois-Pistoles, Notre-Dame-des-Neiges 2010, 304 p.
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